Shaïd : Je vis à Montélimar. Avant d'intégrer cette formation, j'ai obtenu un BAC+2 en maintenance en environnement nucléaire à l'IRUP, situé à Saint-Étienne. J'ai également effectué une alternance au CEA de Cadarache, près d'Aix-en-Provence, où j'étais apprenti technicien d'exploitation des installations.
Oussama : Moi, je suis de Dunkerque. J'ai commencé avec un bac STi2D (Sciences et technologie de l'industrie et du développement durable), puis j'ai suivi une formation de 9 mois en contrôle non destructif (CND) à l'AFPA de Liévin. J'ai ensuite travaillé 2 ans et demi chez ArcelorMittal, en tant que rondier et agent d'exploitation.
Mohammed : J'habite près de Nogent-sur-Seine. Mon parcours est un peu différent. J'ai décroché un BAC Economique et Social, suivi d'un BTS en banque. J'ai tout de même travaillé 2 ans dans le domaine du nucléaire.
Shaïd : Oui, je connais les CND depuis environ 2 ans. Des amis travaillaient déjà dans ce domaine et, lors de mes études, un de mes professeurs nous a parlé du CND, ce qui a éveillé mon intérêt pour poursuivre dans cette voie.
Oussama : Oui ! C'est mon oncle qui m'a parlé des CND et m'a orienté dans cette direction. Il a lui-même des amis qui travaillent dans le secteur et lui ont parlé du CND.
Mohammed : Oui un peu, ce sont des amis et des collègues de travail qui m'ont fait découvrir le CND.
Shaïd : Ma motivation pour suivre cette formation vient en grande partie des opportunités qu'elle offre en termes d'emploi. Le CND n'est pas très connu du grand public, mais j'ai remarqué qu'il ouvrait de nombreuses portes, quel que soit l'employeur. Ce qui m'a particulièrement plu, c'est le contenu du travail lui-même. J'ai regardé pas mal de vidéos et écouté les témoignages de mes professeurs et de mon entourage, ce qui m'a convaincu de choisir les CND.
Ce qui m’a séduit dans ce domaine, c'est la diversité des méthodes utilisées en CND, le travail en lui-même, et la perspective de travailler dans des centrales nucléaires, un environnement qui m'a toujours attiré. La rémunération est également une source de motivation, tout comme la responsabilité que portent les professionnels du CND.
Le statut est aussi un facteur important. Dire à quelqu'un "je suis contrôleur non destructif » ça fait son effet ! Mentionner sur son CV "contrôleur non destructif" suivi de "formation à l'Université du Mans" ça a de l'impact !
Oussama : Quand j’ai connu les CND, en 2018, on m’a parlé comme un secteur d’avenir qui offre de nombreuses d’opportunités. Ce qui m'a plu, c'est la diversité des méthodes de travail, la responsabilité associée au métier, ainsi que la rémunération avantageuse et la possibilité de rentrer chez EDF. Ça fait déjà un moment que je souhaite travailler dans les CND, c’était une opportunité à saisir !
Mohammed : Pour ma part, ce qui m'a motivé, ce sont les opportunités d'emploi offertes, aussi bien dans le secteur nucléaire qu'en dehors. Je voulais également explorer un domaine différent, car mon parcours antérieur n'était pas technique du tout. Je cherchais à découvrir un métier plus manuel, axé sur le contrôle et l'inspection. Cette formation c’est une bonne occasion pour se reconvertir dans ces métiers !
Au nom de toute la promotion, nous tenons à remercier chaleureusement toute l'équipe, ainsi que tous les intervenants et les professeurs pour cette opportunité.
Un grand merci à EDF pour nous avoir choisis pour cette formation et pour la confiance accordée. Nous espérons tous réussir cette formation et devenir des experts CND !